Mesut Özil n’a rien à prouver et il l’a fait savoir contre les vilains ou encore mercredi après la victoire de son équipe face à Galatasaray. Auteur d’une bonne prestation créditée d’une passe décisive, il balaie autant qu’il alimente les critiques.
Mais pourquoi ? Ozil est un artiste un amoureux du ballon rond une patte gauche exceptionnelle. Certains le critiqueront sur sa nonchalance, son repli défensif quasi-inexistant, ou encore cette capacité à parfois sortir de ses matchs… D’autres le feront sur son manque de sang-froid devant les buts. Que Neni !
Il est important de rappeler qu’Ozil est d’abord un passeur un numéro 10 de génie au style si particulier. Certes il doit se montrer polyvalent et peut être amené à jouer à gauche mais ne lui demandez pas de dribbler 3 joueurs en transperçant les lignes à l’instar d’un Alexis Sanchez ou d’un « The Ox » Chamberlain.
Özil déstabilise une défense grâce à ses yeux, sa WAG mais surtout grâce au bon timing de ses passes et sa capacité à jouer dans la largeur. Un système initié à Schalke04 qui s’est précisé au Real Madrid.
En chiffres, Özil c’est 15 passes décisives en moyenne par saison avec une première année en Premier League à 6 buts et près de 10 assists en 28 matchs, mieux que David Silva et en moins de matchs joués s’il vous plait !
Positionné mercredi en tant que soutien des trois attaquants, Özil a régalé par ses dédoublements de passes et une deux. N’en déplaise aux sceptiques ou nostalgiques, mais avec une attaque aussi rapide composée des Chamberlain, Sanchez Welbeck le revenant Walcott, Özil régalera par sa vision de jeux et sera bel et bien le n°10 dans ma team !
