AvideceWopyBalab

Hormis le PSG et l’AS Monaco, nouveau riche à l’avenir aussi incertain qu’un QPR en Premier League, le championnat de France aborde ce mercato estival de manière crispée. « Equilibrer« , « opportunité » et « pari » sont les mots d’ordre de cellules de recrutement au rabais. D’un côté, Lyon clame haut et fort qu’il faut vendre pour acheter. Marseille parie déjà sur un Alessandrini de 6 mois d’âge, quasi international (?!) mais gravement blessé. Saint-Etienne freine des quatre fers pour ne pas se faire piller ses rares atouts (Ruffier, Aubameyang, Hamouma, Zouma). Finies les dépenses folles et les paris sur l’avenir (Gourcuff, Lucho, Kalou), il faut désormais chercher la qualité où on ne l’attend pas. En 2013, le métier de recruteur en Ligue 1 se situe entre « égoutier » et « releveur de compteurs » au palmarès des métiers de rêve.