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C’est sous un soleil parisien radieux que le festival La Lucarne a pris ses quartiers sur les quais, au Point Ephémère à Paris, ce jeudi soir. Les portes se sont donc ouvertes dès 19 heures hier pour le vernissage de l’exposition off, dont une partie présentait le onze de départ de l’équipe du PosterFC ! Cette exposition fut suivie de la projection du film-documentaire « Union fürs Leben » Retour sur une soirée très remplie.

Quel lieu idéal que le Point Ephémére pour accueillir la tant attendue exposition du PosterFC ! Une ambiance très footballistique ! Dès l’entrée, une exposition géniale Tom de Pekin, appelée « Ping Pong » avec la diffusion, en continue d’une petite vidéo très sympa. Le trait est simple et très évocateur. Le travail est collaboratif, laissant la possibilité aux visiteurs de colorier les dessins.

En face, vous pouviez admirer le 11 titulaire du PosterFC, au milieu de la collection de baby-foot vintages rassemblés par Franck, un passionné des anciens jeux liés au football, qui ont intrigué beaucoup de personnes.

Pour clôturer la soirée, et puisque nous étions au festival du film du football, nous avons eu la chance de voir ce documentaire, « Union fürs Leben » dans une salle comble ! La vie de quatre supporters du club de football de l’ex Berlin de l’Est… Au delà du football, ce documentaire représente à la fois un extraordinaire film d’archives sur l’ex-RDA avec une vraie approche sociétale et un très bon divertissement.

Un vendredi avec des Zombies ?

Ce vendredi, la Lucarne arrête de déménager et vous pourrez toujours assister au Festival au Point Ephémère. Au programme, dès 18 heures, un débat philosophique sur « le football : oeuvre d’art totale, voire plus ? » et une rencontre avec la revue philosophique « Oscillations ». Suivi de la projection du film réalisé par : Benjamin Rocher et Thierry Poiraud, « Goal of the dead ».

Le grand club de football de l’Olympique de Paris va disputer un match contre le modeste club de Capelongue. Mais ce qui devait être une simple formalité vire à la catastrophe : une infection semblable à la rage se propage à Capelongue ! 

Pour vous mettre l’eau à la bouche, voici la BA du film.