L’arrivée d’un joueur est toujours un moment particulier pour tout club qui accueil une recrue, un travail de longue haleine amorcée par les agents de joueurs.
Le football et l’inflation économique qu’il connaît sur le mercato est la conséquence de deux choses, l’augmentation ahurissante des droits TV en Angleterre ainsi que l’arrivée des qataris à la tête de Manchester City et du Paris Saint-Germain. Mais si les joueurs se font un gros pactoles suite à ces paramètres, les agents de joueurs s’en mettent plein les poches à l’aide de rétrocessions de plus en plus scrupuleuses, ainsi que de prime à la signature abusive. Si depuis peu la fédération tentait de réglementer le tout en imposant l’obtention de diplômes parmi les agents de joueurs, la FIFA en rajoute une couche en rajoutant des conditions préalables à ce business. Désormais les agents auront un plafonnement dans leur facturation d’un transfert, 10% pour le club vendeur, tandis que 3% sur le club acheteur et le joueur.
New FIFA regulations on player transfers:
Agents can now only charge one of the 3 parts that appear in the transfer operation (Seller, buyer and the player) for a maximum of 10% in commissions from seller, or 3% from buyer or player. Set to be put in effect 2020. pic.twitter.com/WFNu7lSKa0
— Footy Accumulators (@FootyAccums) September 26, 2019
Un limitation des prêts devrait aussi voir le joueur, passant prochainement 8 prêts au maximum puis 6 par la suite, avec la création d’une institution étant en charge de vérifier que les prêts sont bien réalisés dans le but d’atteindre un objectif sportif et non financier.