AvideceWopyBalab

PKFoot distribue des prix après cette 14e journée de Ligue 1 2016/17 pour récompenser ou dénoncer des joueurs, entraîneurs, dirigeants, supporters… Pas question cependant de primer uniquement le meilleur et le pire mais plutôt de se pencher sur quelques faits de jeu ou déclarations qui symbolisent la beauté du foot, ses boulettes mais aussi toutes les dérives qui font malheureusement partie de ce sport : l’agressivité ou l’anti-sportif, l’individualisme ou l’ego.

Vion, un exemple pour Fekir

Revenu d’outre tombe (la D2 belge), jugé en surpoids par son club et donc indésirable, Thibault Vion semblait parti pour une nouvelle saison galère. Après être entré en jeu 1 minute lors de la treizième journée, le Messin a cette fois eu 16 minutes de jeu contre Lorient. Cela lui a suffi pour inscrire un doublé et permettre à son club d’arracher un point. Comme quoi, un bon régime et ça repart.

https://twitter.com/FCMetz/status/802801504990003201

Loïs Diony a « la haine »

Du haut de ses 4 buts et 3 passes décisives depuis le début de saison, l’attaquant bourguignon n’a pas à rougir. Il a largement contribué à faire de Dijon la huitième attaque de L1. Le hic, c’est que le DFCO est aussi la 16e défense. Et ça, Loïs Diony en a marre et il s’est permis un tacle par derrière sur ses coéquipiers.

Rudi Garcia, tacticien hors perd

Un pari sur le mauvais cheval avec Alessandrini, un changement tactique en cours de match étonnant et au final une valise 4-0 à Monaco (doublé de Germain notamment). Rudi Garcia n’a gagné qu’un match de championnat avec Marseille en cinq rencontres et son club ne décolle pas du ventre mou. L’ancien coach du LOSC et de la Roma a décidément l’habitude de prendre des valises quand il affronte des adversaires de niveau Ligue des Champions.

https://twitter.com/SuperCazarre/status/802568824151154688

Le chiantico

Comment ça la primaire de la droite est finie ? On parle de football ici, enfin presque. Samedi soir, Nantes recevait Lille et, contre toute attente, le match s’est terminé sur un score vierge. Pourtant, avec seulement 4 tirs cadrés en tout, on ne peut pas dire que Riou et Eneyama aient été obligés de s’employer face aux attaquants adverses. Plus que de la frilosité, c’est le déchet technique qui a pénalisé les deux équipes.