AvideceWopyBalab

Il y a avait beaucoup de tension ce week-end sur les pelouses de Ligue 1, en grande partie due à ce Classique de Ligue 1. Les Rennais ont aussi réagi contre des Lillois perdus, et Metz est le premier club à débarquer son entraîneur. Retour en tweets.

La dignité de Philippe Hinschberger

Philippe Hinschberger n’est pas Marcelo Bielsa. Avec une seule victoire en dix matchs comme l’Argentin, le coach du FC Metz est le premier à se faire virer cette saison. La dernière défaite à domicile contre un concurrent direct pour le maintien (Dijon, 1-2) a été celle de trop pour une équipe malheureuse après avoir perdu cinq fois par un but d’écart. L’entraîneur messin s’est en tout cas montré très digne, plaçant le club au-dessus de tout, et comprenant qu’il est difficile de continuer à diriger une équipe qui ne gagne pas.

Johnsson se troue

Guingamp avait réussi à percer le coffre-fort nantais pour égaliser, mais une grossière bourde du gardien Karl-Johan Johnsson a finalement permis aux Canaris d’empocher les trois points. En laissant filer le ballon entre ses jambes suite à une frappe anodine de Touré, le malheureux Suédois permet à Nantes de poursuivre son incroyable série en s’incrustant sur le podium.

Banderole géante à Rennes

Les supporters rennais aiment passer clairement leur message en tribune. Après une semaine mouvementée au club, le kop n’a pas fait dans la demi-mesure contre Lille avec une banderole géante : « Vous nous faites honte, bougez-vous bordel !« . Message entendu puisque les joueurs de Christian Gourcuff se sont imposés (1-0) face à une équipe lilloise en pleine crise.

Neymar perd ses nerfs

Le génie brésilien a subi cinq fautes de la part des joueurs marseillais et des jets de projectiles de la part du public. Même son but n’a pas suffi à le calmer et, après avoir reçu un premier carton jaune pour protestation, il s’est finalement fait exclure pour sa réaction après une faute d’Ocampos (qui s’est écroulé comme s’il avait été percuté par un semi-remorque). Un bien pour un mal peut-être pour l’OM car qui peut affirmer que Neymar aurait marqué le coup-franc égalisateur de Cavani ? Finalement, le PSG a trouvé un deal équilibré : à Neymar les pénos, à Cavani les coup-francs.