Célébrer sur.. et en dehors du terrain. Grâce à la marque de tshirts Overturn, les fans de football ont la possibilité de porter des pièces de qualité qui cachent une surprise sur leur face intérieure. Nous avons interviewé son créateur, Tximista Lizarazu.
Pouvez-vous nous présenter Overturn ?
Tximista Lizarazu : Fondée en 2015, Overturn est une marque Lifestyle prônant de belles valeurs et jouant avec un nouveau concept qui relie style et fun. Crier sa passion, crier sa joie et voir le sport de façon différente et toujours positive. Ce n’est pas seulement un t-shirt, c’est beaucoup plus, c’est l’accès à une communauté avec des buts en commun.
L’idée est de partager de bons moments grâce au sport, de s’amuser, que ce soit sur le terrain, au stade, ou devant la télé. L’objectif est de lier notre concept à la joie, à la passion et à l’euphorie que l’on peut retrouver dans un stade de football et dans tous les sports en général.
Avec sa volonté de faire du sport, et du football, un monde de valeurs, de passion et de joie, sans prétention de vouloir révolutionner le monde, Overturn se positionne comme une nouvelle marque innovante, et essaye de bousculer l’image traditionnelle des concepts de t-shirts en lien avec le sport. Nous sommes des rêveurs, qui croyons encore aux valeurs du sport.
Quel message cherchez-vous à faire passer à travers vos t-shirts ?
Tout simplement revenir à des notions de partage, de valeurs, de passion et de joie. Les seules qui devraient prôner dans l’environnement sportif, et donc par la même occasion bannir la haine, les insultes, le manque de respect et tout ce qui va avec (l’exemple de ce qu’il s’est passé au Vélodrome il y a quelques semaines illustre bien tout ce que l’on déteste).
Notre source d’inspiration, c’est Ravanelli !
Est-ce que vous vous êtes inspiré du maillot « Burger King » de Getafe ?
Sincèrement première fois que l’on voit ça et c’est pas très sexy. Notre seule source d’inspiration, c’est Ravanelli. Passé aussi par le Vélodrome, Ravanelli fut l’un des renards de surfaces les plus prolifiques des années 90. On se souvient de lui pour son joli pelage argenté, sa forte propension à s’auto-croc-en-jamber dans les surfaces (coucou aux Parisiens) et surtout sa fameuse célébration de but. À chaque pion, Fabrizio mettait son maillot sur la tête et courait dans tous les sens tel un poulet sans tête.
Quelle est la place de la célébration dans le football ? Quelles sont vos célébrations mémorables ?
Les célébrations ont une très grande place dans le milieu du foot, effectivement, car elles résument la passion et la joie. C’est la finalité de tout ce qui nous fait aimer et regarder le foot. Pour les amateurs de FIFA, pas besoin de vous expliquer l’importance des célébrations dans le milieu..
Evidement, en terme de célébration comme on vient de le dire nous on tend vers Fabrizio, elle est ancestrale, celle la.
Comment se fait le choix des joueurs qui sont sur le verso du tshirt ?
Au départ c’est plutôt simple, on voulait toucher les 3 plus grands clubs actuels, donc forcement cela incluait les 2 meilleurs joueurs du monde. A ça on a ajouté un chauve qui a de la gueule et qui plante au Bayern ! Puis indéniablement, on se devait de faire une édition Paris, le probable 4ème meilleur club du monde, le choix n’a pas été très compliqué avec l’un des meilleurs attaquant de sa génération, un mythe à lui tout seul, vous aurez compris, je parle de Zlatan.
Pour finir, un Frenchy qui à la côte dans un championnat que l’on ne touchait pas, donc on a choisi Giroud avec les Gunners. Et la liste des futurs joueurs est en train de se constituer en fonction de pas mal de critères.
Avez-vous des parrains pour porter votre projet ?
Oui pas mal de parrains, mais on vous laisse le découvrir par vous même, c’est encore trop tôt pour en parler. Et on aime faire des surprises à nos clients.
Quels sont les prochains axes de développement de votre marque ?
Pour l’instant, c’est du tout neuf, donc on va continuer de se développer tranquillement et de faire connaitre nos valeurs puis on va essayer de développer les gammes et créer une communauté forte avant de s’internationaliser. On est déjà fier de nos valeurs et d’avoir un projet intéressant, la suite c’est que du bonheur.
Au football, le fait de couvrir son visage est passible d’un carton jaune. Revendiquez-vous une approche « rebelle » du football et du supporteurisme ?
Non bien au contraire, mais c’est vrai que du temps de Ravanelli, les maillots étaient assez amples (et les arbitres moins tâtillons) pour permettre ce genre de fantaisie.
Malheureusement, la mode actuelle du maillot moulant empêche les joueurs de laisser libre cours à leur imagination et d’imiter notre Italien. Partant de ce triste constat et nous disant qu’il y avait bien des gens qui se battaient pour sauver les ours polaires, on s’est dit qu’il n’y avait aucune raison de ne pas se mobiliser pour sauver la “spéciale Fabrizio”. On aime vraiment cette célébration car elle représente la joie, d’autant plus lorsque on l’additionne aux cris de joie des meilleurs joueurs du monde.
