| Écoutez Duncan Ferguson sur le podcast Tony Bellew is Angry sur Sons de la BBC. |
L’ancien attaquant d’Everton, de Newcastle et des Rangers, Duncan Ferguson, a déclaré que refuser de jouer au football international après une brouille avec la FA écossaise (SFA) était le « plus grand regret de ma carrière ».
Ferguson, de Stirling, a marqué 124 buts en 423 apparitions en club et a décroché sept sélections internationales. Cependant, il a quitté l’équipe nationale à partir de 1997, manquant la Coupe du monde 1998 en France.
La décision de l’attaquant de se rendre indisponible était pour protester contre la décision de la SFA de l’interdire pour 12 matches à la suite d’un coup de tête sur le défenseur des Raith Rovers Jock McStay – un incident qui l’a conduit à purger 44 jours de prison.
S’adressant à Tony Bellew dans le dernier épisode du boxeur d’Evertonian Podcast BBC Sounds, le nouveau nommé Responsable Forest Green Rovers a blâmé son « entêtement » pour son exil.
« Quand je suis sorti de prison, la SFA m’a demandé de purger une autre interdiction de 12 matchs », a déclaré Ferguson.
« J’ai dû ensuite aller devant les tribunaux, défendre mon cas et dire ‘regardez, c’est comme un double péril, ou peu importe comment ça s’appelle’…
« En fait, j’ai gagné mon procès… mais la SFA voulait que je serve [that] interdiction, alors j’ai eu la bosse.
« C’est le plus grand regret de ma carrière, ne pas jouer pour mon pays. »
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Ferguson soutient que le coup de tête qui a conduit à son emprisonnement était « un incident de rien », disant à Bellew que lui et McStay ont joué le reste du match à Ibrox, l’attaquant marquant plus tard dans la compétition.
Cependant, il a été jugé contraire à ses conditions de probation, qui avaient été fixées après qu’il ait été accusé de voies de fait à trois reprises auparavant.
Néanmoins, il avoue qu’il aurait aimé ne pas en vouloir à la SFA. « J’ai la bosse. Je regrette [that] maintenant parce que j’aurais dû jouer 200 fois pour l’Ecosse », a déclaré Ferguson.
« Ils m’ont demandé chaque année pendant 14 ans. Chaque année jusqu’à mes 34 ans. Ally McCoist m’a appelé tard le soir. [saying] ‘reviens grand mec, nous jouons l’Italie, tu vas jouer’.
« Quand Walter [Smith] était le directeur, j’ai été tenté, parce que j’aimais Walter. J’étais juste têtu. Je mettais la ligne dans le sable et c’était tout. »
La carrière de Ferguson a été marquée par des blessures et des controverses. Il a été expulsé huit fois en Premier League, dont six rouges consécutifs.
« J’aurais pu me contrôler un peu mieux »
En 2004, il a donné un coup de coude à Hermann Hreidarsson de Charlton dans le visage. La même année, il a purgé une suspension de quatre matches pour étrangler Steffen Freund de Leicester.
Deux ans plus tard, Ferguson a été banni pour bousculer Pascal Chimbonda de Wigan au visage juste avant d’être expulsé pour avoir frappé Paul Scharner.
Hors du terrain, parallèlement à ses accusations d’agression, il attaqué deux cambrioleurs à son domicile d’Ormskirk en 2001, hospitalisant l’un des hommes.
Cependant, Ferguson dit à Bellew qu’il pense que sa réputation d’individu en colère est injustifiée.
« J’ai vraiment eu beaucoup de cartons rouges stupides dans ma carrière », dit-il. « Il faut une nuit pour acquérir une réputation et toute une vie pour s’en débarrasser. J’ai eu un ou deux problèmes en dehors du terrain quand j’avais 18 ans. J’aurais peut-être pu me contrôler un peu mieux. »
Après avoir pris sa retraite du jeu en 2006, Ferguson est retourné à Everton pour travailler au sein de l’académie du club à Finch Farm, initialement sur une base volontaire. Il a depuis eu deux périodes en tant que gérant par intérim de l’équipe senior masculine.
Dans le podcast, Ferguson parle avec Bellew de son amour pour le coaching.
« J’ai adoré ça depuis que j’ai commencé à le faire. Je suis passé par l’académie d’Everton. J’ai fait les chantiers difficiles », dit-il. « J’adore être avec les enfants, je l’ai toujours fait. J’ai du plaisir en moi et je suis un gars positif – c’est comme ça que je prends mon coaching. »
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