Rien n’y fait. Les championnats étrangers ont beau dépenser des millions dans l’animation de leur compétitions, ils n’arrivent à la cheville de cette Angleterre atypique, réputée pour héberger le championnat le plus passionnant de la planète. Mais qu’est-ce qui est à l’origine de ce leadership ?
Remontons déjà le temps. En 1863, le rugby et le football séparaient leurs règles et créaient deux sports bien distincts entre les différentes universités britanniques. Les règles sont encore assez floues (en fonction desdites universités) et la FA (Football Association) s’occupait à jouer son rôle de pacificateur en définissant un règlement commun à toutes les équipes. Le football est alors pratiqué par de jeunes gens de bonnes familles et devenait tendance, au point de s’exporter facilement. Rapidement, la Belgique, la France ou l’Allemagne commençaient à pratiquer le “football”, ce sport étrange venu d’Angleterre.
A cette époque, les joueurs de foot ont encore un attirail limité : ballon en cuir grossier, short trop long et chemisettes cousues par les femmes des joueurs. Le charme opérait quand même. Avec le temps, la culture du foot anglais s’est déportée dans les tribunes. Le football est devenu populaire et souvent mêlé à des faits historiques et sociaux.
Dans les années 60 et 70, le football est passé par une période plus obscure, devenant la distraction des masses populaires grâce à un tarif accessible et des joueurs élégants qui permettent de sortir de la grisaille du quotidien. Les exploits de Manchester, Nottingham ou Aston Villa rendaient le quotidien plus acceptable, au point de porter les maillots et tenues d’entraînement comme vêtements de ville. La marque du sportswear venait de faire son apparition.
Dans les années 90, l’apparition de la Premier League ne fait qu’accentuer ce phénomène de dépendance à ce championnat huppé et passionnant. Cette élite du football dispose des moyens financiers et d’une base de fans suffisante pour des épopées endiablées : Blackburn 95, Manchester United 99 ou les Invincibles d’Arsenal au début des années 2000.
Le supporteurisme a lui aussi évolué. Maintenant, il ne convient plus de porter des maillots dans la vie de tous les jours, les matières étant purement sportives. Désormais, les amateurs de football y vont de manière subtile : une écharpe sobre glissée sous un trench, une paire de gants noirs et le logo de son club brodé, ou tout simplement un polo qui rappelle toutes ces valeurs. C’est ce que propose la marque Mike Dellone.
Inspiré par cet héritage anglais, cette passion du jeu et son authenticité dans le temps, Mike Dellone a élaboré une ligne de polos sobres et élégants qui allient performance et histoire. Les polos ont une coupe ajustée et sont disponibles dans plus de 18 couleurs.
A l’approche de cet Angleterre/France, il est toujours intéressant de s’intéresser à ces deux pays qui ont su installer une culture foot à travers l’habillement. En France, des marques comme le Coq Sportif restent associés à des moments de votre mémoire de fan de football. Et si Mike Dellone devenait votre nouvelle référence ?