Actuel six fois champion Championnat Gauchoo Guilde s’est qualifié pour les demi-finales de la compétition ce dimanche. Jouant dans l’arène, le Imortal a battu Brasil de Pelotas 2-0 dans un duel valable pour les quarts de finale de Gauchão.
Après le match, on a demandé à Renato Gaúcho pourquoi il avait fermé l’entraînement de Grêmio cette année. Et l’entraîneur a poussé un long discours à ce sujet.
« Je ne punis personne de la presse, non, en fermant les portes. Vous avez votre chambre, vous pouvez prendre votre café, aux frais du club, vous pouvez boire votre eau. Mais il faut comprendre une chose : l’Europe « Je fais cela depuis longtemps, les clubs au Brésil le font depuis longtemps. Quand j’ai demandé de fermer les portes, j’ai l’impression que je révolutionne le football du Rio Grande do Sul. Vous pouvez noter cela et écrire : ça va être une routine dans les clubs brésiliens. Quand je parle de la climatisation, des clairons, c’est la façon de jouer avec eux. Mais je n’ai jamais manqué de respect pour personne. Le terrain, le CT, appartient à l’entraîneur, c’est notre travail « . La question que je vous pose. Quel est l’avantage que le club a en vous d’être présent à l’entraînement ? » demanda Renato.
« Les seuls qui en profitent, c’est vous. Mais beaucoup d’entre vous prennent les images, gagnent de l’argent à l’étranger, ce avec quoi je n’ai rien à voir, vous nous critiquez comme un diable, gagnez de l’argent avec le club et souvent nous devons attendre que vous partiez. le club pour faire nos entraînements secrets. Ensuite, je vous demande : quoi de neuf ? Nous n’avons jamais été invités à aller à votre travail et voir à quoi ça ressemble. Nous montrons les images aux fans. Avec tout le respect que je vous dois, ils Ce sont de meilleures images, parce que sur notre télé je leur permets d’entrer sur le terrain. Ils interviewent nos joueurs quotidiennement, ils n’aiment pas donner des interviews, je n’aime pas ça non plus, mais de temps en temps ils doivent le faire et pour Grêmio La télévision, nous sommes là, nous jouons… alors ne vous laissez pas convaincre que Renato punit la presse. L’Europe le fait, les clubs brésiliens le font et d’autres clubs vont le faire. On dirait que le monde est tombé. .. si vous les traitez bien, je vous laisserai partir, mais ça va être un peu difficile », a-t-il ajouté.
« Il faut qu’il y ait plus de respect de la part de 3, 4 d’entre vous envers le club. Que dois-je faire ? Est-ce que je bannis uniquement ces 3, 4 ? Est-ce que je vais les appeler ? J’aimerais qu’ils puissent aller à l’entraînement. la critique est valable, mais quand elle va au-delà… il y a 3,4 personnes ici dans le Sud qui gagnent beaucoup d’argent grâce à la critique, pour avoir des clics, il y a des Colorados malades, contre lesquels je n’ai rien. Tout le monde soutient l’équipe ils veulent, mais mets ton maillot pour parler. Et certains fans du Grêmio en profitent, ils se disent fans du Grêmio et vont au-delà de leurs critiques pour gagner de l’argent. Quand cette critique va au-delà de cela, quand ils commencent à dire trop de bêtises pour créer du public avis, quand ils pensent qu’ils possèdent le club, il faut aller à leur place. La critique est valable, je vous applaudis. J’aime être critiqué, du moment que le gars me montre que je fais quelque chose de mal… sinon le les gars pensent qu’ils sont les maîtres des lieux ».
« Les supporters sont les propriétaires du club et nous sommes là pour défendre l’institution, nous cherchons toujours le meilleur pour le club. Quand ces 3, 4 changent de ton… quand ils commencent à s’attaquer indirectement aux enfants, les enfants des joueurs. J’ai parlé avec mon président, mon vice-président et mon exécutif et nous avons pris des décisions ensemble. Je donne mon avis, je montre ce que je pense être le mieux. Votre question est tout à fait juste, nous étions champions avec vous là-bas, mais la semaine qui a continué et on a gagné la partie Ce sont les génies de la climatisation, je ne sais pas pourquoi ils ne viennent pas ici au bord du terrain, ils gagneront beaucoup plus ici. Parlez au président, il vous donnera l’opportunité « , puisqu’ils savent tout, ou bien viennent parler ici… critiquez ici le joueur face à face… alors personne n’apparaît », a-t-il conclu.
Critique du « cire » de la part des équipes rivales
L’entraîneur a également souligné l’exigence de prêter attention à Grêmio lorsqu’il joue afin de ne pas tomber dans le piège des provocations de ses rivaux.
« J’ai déjà beaucoup travaillé sur leur esprit, pour les empêcher de ce qui pourrait arriver dans un match comme celui-ci. Les gens veulent cirer un de mes joueurs, faire des blagues, c’est une chose normale, mais c’est dégoûtant dans le football. »
