AvideceWopyBalab

Les 21 et 22 mars auront lieu la deuxième édition du Sportem, le salon européen du marketing sportif où nous nous étions rendus l’an passé. Après une première édition réussie, le challenge est d’améliorer encore la rencontre des professionnels du sport. En tout cas, sur le papier,  le défi semble être relevé.

Le salon comme nous l’avons vu l’an passé débutera le mardi 22 à 9h. Il rassemblera tous les professionnels du marketing sportif (fédérations, clubs, agences marketing, équipementiers, fabricants …) au stade Pierre Mauroy de Lille afin de se rencontrer et d’échanger sur les problématiques du marketing sportif, tout en prenant connaissance des nouvelles solutions disponibles dans le secteur. Là encore, nous vous redirigeons vers notre article de l’an passé pour jeter un coup d’oeil à ce qui était proposé.

La principale innovation de cette année est l’introduction de conférences qui auront lieu le lundi à partir de 14h. Trois tables rondes seront proposées autour du thème du merchandising avec des intervenants de grande qualité (Nike, Leicester City FC, Olympique de Marseille, PSG, NBA Europe, …) pour partager leurs expériences et leurs ressentis par rapport au marché. Vous pouvez réservez vos places et trouver le programme détaillé du salon sur le site de Sportem.

L’an dernier, partant de zéro, nous avions réussi un taux de satisfaction de 80%
Christophe Rousseau

Christophe Rousseau, Président Fondateur de l’agence Troisième Ligne qui organise le salon, nous a confié que l’objectif de cette deuxième édition « est déjà de faire mieux que la première, tant en termes de nombre de visiteurs que de qualité des exposants. L’an dernier, partant de zéro, nous avions réussi un taux de satisfaction de 80% tant au niveau des exposants que des visiteurs qui étaient un peu plus de 300. Nous comptons donc dépasser ces 2 chiffres. »

En conséquence de ce développement, le salon est devenu payant afin d’avoir la possibilité d’accéder à « des intervenants de renom » et palier à « des charges d’exploitation plus importantes« . A noter également que l’idée de dupliquer le concept sur d’autres continents aux marchés importants (Asie, Am. Sud et Afrique) n’est pas exclue, malgré l’envie de rester sur le marché européen au moins jusqu’en 2017.