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Cette journée de Ligue 1 propose des actualités pour tous les goûts : des exclusions contestées, des pénaltys contre Lyon, mais aussi le record enfin battu par l’Uruguayen du PSG, ainsi que les supporters lillois qui mènent les Dogues vers le succès.

Coup de pression efficace à Lille

La veille du match contre Strasbourg, les supporters lillois ont mis la pression à leur équipe en bloquant le bus des joueurs. Visiblement, les tensions de la veille ont réveillé les joueurs de Christophe Galtier qui se sont arrachés pour l’emporter à la dernière minute contre Strasbourg (2-1). De quoi permettre au LOSC de respirer avant de recevoir le PSG. Alors merci les supporters ? Difficile à dire mais en tout cas, merci El Ghazi.

 

Avec 2 pénos, c’est plus facile

En une mi-temps, les Bordelais ont assommé les Lyonnais. Bon, ok, avec 2 pénos dont un premier très discutable sur Malcolm, cela rend le match plus facile. Cette réussite a en tout cas récompensé le bon visage offert par les joueurs de Gus Poyet (3-1). Le fameux « pénalty pour Lyon » se retourne en tout cas contre l’OL cette saison puisque les hommes de Genesio ont déjà concédé 7 pénaltys en L1.

 

Un record + un câlin et on n’en parle plus

Et si Paris avait obtenu son pénalty avant l’ouverture du score de Cavani ? Quelle aurait été la réaction du public ? Neymar l’aurait-il offert à Cavani ? Cela restera de la fiction car l’Urugayen avait fait le job avant pour aller chercher son record. Et ensuite avec le Brésilien, ils ont fait un gros câlin pour enterrer toute polémique. Accessoirement, le PSG l’emporte contre Montpellier 4-0.

Deux exclusions contestées

Lucien Favre n’est pas un habitué des critiques envers l’arbitrage mais l’expulsion de Pierre Lees-Melou à Metz (2-1) lui est restée en travers de la gorge : « Je ne pense pas qu’il y ait rouge, cela fausse les données ». Même sentiment pour le Troyen Jean-Louis Garcia, battu lui aussi contre Toulouse (0-1) après le carton rouge reçu par Giraudon : « Les dés étaient pipés au bout de trois minutes ». Dans les deux cas, les joueurs exclus ne touchent quasiment pas leur adversaire mais le Niçois a mis le pied haut d’une façon qui aurait pu être plus dangereuse tandis que le Troyen faisait face à un attaquant qui s’ouvrait le chemin du but.

(c) image à la UNE : AFP